Mardi dernier, dans une ambiance effusive (chaleur, cris de bébés, zia en chasse, msn affolé et imprimeur impatient), je terminais mon Psikopat de septembre. Mon frerot étant passé me chercher pour me déposer à Puycelsi où je m'apprétais à passer deux bonnes journées de repos mérité avec Maya, je laissais à Reno la mission - simple, le croyais-je - de finir d'envoyer les dernières pages sur le FTP de l'imprimeur, via Fetch. Mais une fin de bouclage c'est JAMAIS simple, j'aurai dû le prévoir. Le pauvre a du se prendre la tête à refaire certaines pages foireuses avec moi par téléphone, alors qu'il avait - passez-moi l'expression - autre chose à putain de foutre, bordel de couilles à cul (j'aime bien être vulgaire de temps en temps, ça défoule). En revenant du caillou (petit nom d'amour donné à Puycelsi-la-rayonnante), je trouve ça sur mon bureau :



... ce qui me permet non seulement de mettre à jour alors que j'ai rien foutu pour mon blog, mais aussi de satisfaire les lecteurs qui réclament du Reno à corps et à cri, même si je passe traîtreusement un truc gribougné à la va-vite derrière son dos.
(edit - merci à LDF) Tiens sinon rien à voir mais j'ai découvert un groupe qui me plaît vachement, ils s'appellent Opa Tsupa, voici l'une de leurs nombreuses chansons hyper chouettes :