C'est ce qui m'arrive quand je me met au lit, télé allumée, et que je laisse aller distraitement le crayon sur la feuille. Je fais des meufs. Des tas de meufs. Du dessin-plaisir d'ado, de quand on-sait-pas-encore-dessiner-les-garcons. Voilà la dernière fournée.